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Au 19e siècle, Émile de Girardin, journaliste et inventeur de la petite annonce dans la presse, disait : « Gouverner, c’est prévoir ». Aujourd’hui, on dit plus volontiers : « Gérer, c’est prévoir ».
Le 15 octobre 2010, sur les ondes de France Bleu Besançon, a été diffusé un reportage de la journaliste Anne Fauvarque sur l’ADMR du Doubs. Le site internet de cette radio, qui proposait l’écoute de ce reportage, avait relayé cette information sous le titre :
« L'ADMR du Doubs dans une zone de turbulences »
« De gros nuages à l'ADMR du Doubs, l'association d'aide à domicile en milieu rural, qui compte un millier de salariés.
8 employés sont contraints de partir du siège au Valdahon. Le président indique qu'il faut "produire le moins cher possible". D'après les salariés, l'association a vécu au-dessus de ses moyens, et ils sont en train de payer les pots cassés. »
L’Est républicain dans son édition du 25 octobre 2010 (page « Doubs ») a également parlé de ces problèmes sous la plume de Joël Mamet. Le nombre de huit licenciements « avec des départs négociés à l’amiable » n’est pas certain. Pourtant, « ce qui a poussé l’ADMR à prendre des dispositions pour diminuer ses frais de fonctionnement, c’est le déficit apparu en juillet dernier » : 760 000 euros.
Un peu plus loin, le journaliste écrit : « Voilà pourquoi l’ADMR est contrainte de réaliser des économies. Sur le personnel donc, mais son président songe aussi à moins dépenser en matière de communication et de développement. »
Tout un programme ! Et on peut se demander si celui-ci va aussi être appliqué à la commune de Frasne dont le maire n’est autre que le président de l’ADMR du Doubs.
Le 15 octobre 2010, sur les ondes de France Bleu Besançon, a été diffusé un reportage de la journaliste Anne Fauvarque sur l’ADMR du Doubs. Le site internet de cette radio, qui proposait l’écoute de ce reportage, avait relayé cette information sous le titre :
« L'ADMR du Doubs dans une zone de turbulences »
« De gros nuages à l'ADMR du Doubs, l'association d'aide à domicile en milieu rural, qui compte un millier de salariés.
8 employés sont contraints de partir du siège au Valdahon. Le président indique qu'il faut "produire le moins cher possible". D'après les salariés, l'association a vécu au-dessus de ses moyens, et ils sont en train de payer les pots cassés. »
L’Est républicain dans son édition du 25 octobre 2010 (page « Doubs ») a également parlé de ces problèmes sous la plume de Joël Mamet. Le nombre de huit licenciements « avec des départs négociés à l’amiable » n’est pas certain. Pourtant, « ce qui a poussé l’ADMR à prendre des dispositions pour diminuer ses frais de fonctionnement, c’est le déficit apparu en juillet dernier » : 760 000 euros.
Un peu plus loin, le journaliste écrit : « Voilà pourquoi l’ADMR est contrainte de réaliser des économies. Sur le personnel donc, mais son président songe aussi à moins dépenser en matière de communication et de développement. »
Tout un programme ! Et on peut se demander si celui-ci va aussi être appliqué à la commune de Frasne dont le maire n’est autre que le président de l’ADMR du Doubs.
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