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La publication de l’article intitulé « Le 13e candidat » a fait réagir un ancien conseiller municipal, qui fut aussi adjoint. Voici un extrait de son courrier :
« Le 13e candidat me fait réagir sur un point, je dirais plutôt sur une erreur de votre part, vous qui conseillez aux autres de s’assurer de la véracité de leurs informations avant de les publier et là-dessus, c’est peut-être la seule chose où je suis d’accord avec vous, je me permets de vous informer que pour le 2e tour des élections municipales de mars 2001, M. Alpy avait renoncé à faire acte de candidature, il ne pouvait de ce fait être battu. »
D’une manière générale, avant de publier une information, j’essaie de vérifier effectivement la véracité de celle-ci. Ce travail d’investigation est identique à celui que j’effectue lors de recherches historiques où chaque affirmation doit pouvoir être justifiée. Mais des erreurs sont toujours possibles (mauvaise interprétation d’un témoignage ou d’une transcription d’un texte ancien, erreur de frappe, etc.). Ce travail est d’autant plus difficile lorsqu’il est fait seul et sans regard extérieur, ce qui n’est pas le cas des « autres », ceux-ci désignant, dans l’esprit de la lettre reçue, la mairie. Pourtant, une mairie dispose de moyens humains conséquents (personnel et conseil municipal) et un réel travail d’équipe devrait permettre de réduire les erreurs.
Dans le cas de cette renonciation de candidature, je me suis basé sur le bulletin de vote, la profession de foi des candidats et le résultat des élections de 2001. Les deux premiers documents, comme vous pouvez le voir ci-dessous, portent la mention « Vu, les candidats » et ont été distribués à tous les électrices et électeurs de Frasne.
« Le 13e candidat me fait réagir sur un point, je dirais plutôt sur une erreur de votre part, vous qui conseillez aux autres de s’assurer de la véracité de leurs informations avant de les publier et là-dessus, c’est peut-être la seule chose où je suis d’accord avec vous, je me permets de vous informer que pour le 2e tour des élections municipales de mars 2001, M. Alpy avait renoncé à faire acte de candidature, il ne pouvait de ce fait être battu. »
D’une manière générale, avant de publier une information, j’essaie de vérifier effectivement la véracité de celle-ci. Ce travail d’investigation est identique à celui que j’effectue lors de recherches historiques où chaque affirmation doit pouvoir être justifiée. Mais des erreurs sont toujours possibles (mauvaise interprétation d’un témoignage ou d’une transcription d’un texte ancien, erreur de frappe, etc.). Ce travail est d’autant plus difficile lorsqu’il est fait seul et sans regard extérieur, ce qui n’est pas le cas des « autres », ceux-ci désignant, dans l’esprit de la lettre reçue, la mairie. Pourtant, une mairie dispose de moyens humains conséquents (personnel et conseil municipal) et un réel travail d’équipe devrait permettre de réduire les erreurs.
Dans le cas de cette renonciation de candidature, je me suis basé sur le bulletin de vote, la profession de foi des candidats et le résultat des élections de 2001. Les deux premiers documents, comme vous pouvez le voir ci-dessous, portent la mention « Vu, les candidats » et ont été distribués à tous les électrices et électeurs de Frasne.
L’annonce du retrait entre les deux tours, après l’impression et la distribution des documents officiels de vote, n’a pas été confirmée officiellement et les bulletins de vote n’ont pas été remplacés dans le bureau de vote le jour de l’élection. Si effectivement, il y a eu renonciation de la part de M. Alpy, je laisse à chacun le soin d’interpréter ce retrait.
L’un des buts de ce blog est d’attirer l’attention sur certains points en apportant un autre regard. La lecture des articles peut conduire à la réflexion et à la discussion, car l’information et la communication ne font pas forcément bon ménage. La réception de cette lettre a d’ailleurs été l’occasion de discuter pendant plus d’une heure et demie avec son auteur.
L’un des buts de ce blog est d’attirer l’attention sur certains points en apportant un autre regard. La lecture des articles peut conduire à la réflexion et à la discussion, car l’information et la communication ne font pas forcément bon ménage. La réception de cette lettre a d’ailleurs été l’occasion de discuter pendant plus d’une heure et demie avec son auteur.
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